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Gaza : Antonio Guterres, Chef de l'ONU, Appelle à un Cessez-le-Feu Durant le Ramadan

Dans un appel poignant, le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, exprime son indignation face à la persistance du conflit à Gaza pendant le mois sacré du Ramadan. Il enjoint à faire taire les armes et à libérer les otages pour préserver l'esprit de paix et de solidarité célébré par les musulmans à travers le monde.


Le début du mois sacré du Ramadan aurait dû apporter une lueur d'espoir et de paix à Gaza, mais au lieu de cela, les bombes continuent de déchirer le ciel et les familles cherchent désespérément refuge. Antonio Guterres, le Secrétaire général de l'ONU, se dit "atterré" par cette situation inacceptable, appelant à un cessez-le-feu immédiat et à la libération des otages, afin de préserver l'honneur du Ramadan.

Dans un message adressé aux millions de musulmans entamant ce mois saint, Guterres rappelle les valeurs de paix, de réconciliation et de générosité que le Ramadan incarne. Malheureusement, ces principes sont piétinés à Gaza, où la faim, la malnutrition, et la terreur persistent malgré l'esprit sacré de cette période. Le Chef de l'ONU exhorte les dirigeants du monde entier à surmonter les divisions, à aider ceux dans le besoin, et à œuvrer ensemble pour la sécurité et la dignité de chaque être humain.

Antonio Guterres n'épargne pas ses appels de détresse, mettant en garde contre une possible offensive terrestre israélienne à Rafah, susceptible d'aggraver encore davantage la tragédie à Gaza. Il réitère également son appel à un cessez-le-feu au Soudan, soulignant l'urgence d'agir face à la famine, aux horreurs et aux épreuves indicibles. "Le temps de la paix est venu à Gaza, au Soudan, et au-delà. Leaders politiques, religieux, et communautaires, c'est le moment d'agir pour faire de cette période sacrée un temps d'empathie, d'action, et de paix."

Gaza continue de souffrir, et le Chef de l'ONU rappelle au monde que le respect des valeurs du Ramadan exige des actions concrètes pour mettre fin à la violence et à la souffrance. La chute de l'article résonne comme un appel pressant à l'humanité pour préserver la dignité et la vie dans une région où le silence des armes est devenu impératif.

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